14 septembre 2006
Pas potiche
Pas potiche, pas de titres, pas de manifestation apparente.
Il aimait la réalité, même s'il devait s'aliter et possiblemente lire tous les livres du monde,
ceux qu'il aimait bien et par les quels il était hanté.
On pourrait dire que tout cela était alléchant pour lui.
D'un côté, évidemment. Dans le côté de son brin romantique, de rêve, de littérature.
Mais il devait se délasser.
Il n'était plus le heune homme qui désirait tout, qui cherchait tout.
Mais le culte du jeune âge l'agaçait, même le sien, le passé.
Tout cela était à sa portée.
Publicité
Publicité
Commentaires